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Le test : hélicoptère espion radiocommandé avec caméra embarquée Silverlit Spy Cam

Nos derniers tests d’hélicoptère radio-commandé de la marque Silverlit remontaient à la sortie de leur premier modèle à trois voies, il y a environ 2 ans, ceux qui avançaient sous l’impulsion  d’un bouton et qui nous avaient quelque peu laissé sur notre faim…

Lorsque nous avons reçu l’hélicoptère espion Spy Cam, sceptiques nous l’étions encore (comme dirait Maître Yoda). C’était sans compter sur sa mini caméra embarquée qui est venu titiller notre âme de geek. Nous avons donc ouvert la boîte… pour voir (mais aussi terriblement excités).

Bonne surprise N°1 :

la qualité est au rendez-vous. Châssis métal, carrosserie vernie et bien décorée, interrupteur accessible même pour les plus gros doigts : il s’agit bel et bien d’un produit pour grands enfants d’une très belle finition. Le Spy Cam se place à la frontière entre jouet (grand public) et modélisme (passionnés avertis).

 

Bonne surprise N°2 :

le Silverlit Spy Cam est vendu avec un cordon USB (un poil court par contre mais on peut mettre une rallonge USB) et la prise de branchement est une mini USB. Silverlit a enlevé la petite prise blanche à trois broches, si délicate à manipuler, enfin !! La charge et aussi le transfert de données vidéo s’effectuent donc à l’aide du cordon USB ce qui évite d’user rapidement les piles de la télécommande. Il est toujours possible de recharger l’appareil depuis la télécommande, au cas où, avec une prise mini jack dans la télécommande très facile à brancher également.

Prêt pour le décollage ?

Notre Hélicoptère Spy Cam est chargé (une grosse demie-heure de charge). Mise en marche de la télécommande puis de l’hélicoptère. Des petites diodes clignotent, on pousse un peu les gaz, les rotors se lancent, tout est OK.

Le premier décollage, nous l’effectuons en le tenant avec la main. L’hélicoptère dans la main droite et avec la main gauche on pousse le manche des gaz doucement jusqu’à ce que le Spy Cam décolle. Cela évite l’effet de sol et permet d’appréhender plus sereinement le maniement de l’appareil qu’on ne connait pas encore.

La stabilité en vol stationnaire est sans défaut ! Le réglage du  trim (réglage de précision des commandes) de direction s’effectue aisément par simple pression sur un bouton de la télécommande, ceci permet de corriger la direction lorsque l’appareil est en position neutre. On pousse alors le manche de droite vers la gauche puis vers la droite et là, quelle surprise, la progressivité est exemplaire !

Il est possible de faire pivoter l’appareil très lentement avec précision ou plus rapidement, c’est notamment idéal lorsqu’on sait que l’engin va nous servir à espionner avec sa caméra intégrée ! Dès qu’on lâche le manche, il se stabilise, le gyroscope fait merveilleusement bien son travail !

Voici venu le moment fatidique du test en translation :

On pousse le manche de droite vers l’avant et zou, c’est parti. Comme pour la direction, la puissance est progressive. C’est pour nous le premier trois voies de chez Silverlit qui possède cette qualité.

Après avoir poussé même un peu fort la commande des gaz, le Spy Cam prend alors trop de vitesse (génial il peut avancer à bonne allure !) mais le mur se rapproche très vite ! Virage d’urgence à gauche mais trop tard le Spy Cam part en vrille direction le sol pour finir sous la table. Dans ces conditions de perdition, le meilleur  réflexe est de lâcher immédiatement toutes les commandes. En effet, le Spy Cam est léger et l’impact sur le sol ne causera pas de dégâts si vous arrêtez la propulsion des rotors.

Après un bref check-up, l’hélicoptère est intact ! c’est du costaud ! Pour le deuxième vol, plus de prudence et il n’y a pas à dire, le Spy Cam possède une qualité de vol incroyable ! On s’amuse comme des fous, la marche arrière est un peu moins rapide mais ce n’est pas le plus important.

Test vidéo du Spy Cam Silverlit :

Testons alors notre vidéo ! Après tout c’est bien là l’atout du Spy Cam : la vidéo !

la télécommande possède deux boutons, au même endroit que les touches R1 et L1 d’une manette de PS3 (pour les connaisseurs).

Le bouton de gauche permet de déclencher et d’arrêter la vidéo, celui de droite prend des photos en appuyant par impulsion comme un déclencheur d’appareil photo.

Ces deux fonctions sont donc très faciles à utiliser et elles ne perturbent en rien le pilotage. Nous faisons deux ou trois vidéos et quelques photos (on survole au passage Nathalie qui passait dans nos bureaux… et manifestement effarée par l’engin 🙂 ).

L’oeil de la caméra est orientable ! Lorsque le mode vidéo est en marche, le phare à led avant placé sous l’objectif est allumé et on peut le voir très facilement : on sait donc lorsque la vidéo est en fonctionnement !

Vol terminé, vidéo et images effectuées, nous branchons le câble USB à l’ordinateur.

Le Spy Cam est reconnu par l’ordinateur comme une clé USB.

Double clic sur la clé et double clic sur le répertoire DCIM : les fichiers vidéo (avi) et photo (jpeg) apparaissent. Trop simple !

La qualité des vidéos est plus que correcte étant donné la taille de la caméra. La caméra gère parfaitement les contre-jour et s’adapte très rapidement lorsque vous passez devant une fenêtre par exemple.

Pour notre première vidéo, on s’aperçoit immédiatement que les mouvements sont trop rapides et trop saccadés et qu’il faut utiliser la direction avec beaucoup plus de feeling et de progressivité. Voilà pourquoi les ingénieurs de chez Silverlit (les gros malins) ont fait un hélicoptère entièrement progressif dans ses mouvements. La qualité des photos est correcte sans plus mais il faut garder en tête que ce sont des photos d’espionnage et non des oeuvres d’art !

Petit bémol, le logiciel de retouche vidéo et photo présent dans la mémoire du Spy Cam est uniquement compatible PC et nous avons utilisé un Mac pour ce test… dommage.

 

 

Conclusion :

Le Spy Cam possède toutes les qualités requises pour faire jeu égal avec les modèles de la concurrence. Nul doute que ce petit joujou va certainement faire un malheur !

Pour Noël, imaginez  un vol autour du sapin, vous rasez alors le chat puis la belle-mère et vous postez tout ça sur Facebook pour immédiatement épater vos amis ! Si vous avez encore en tête le vol catastrophique de votre premier hélicoptère radiocommandé, oubliez tout ça ! Ces dernières années les technologies ont considérablement évolué et le vol de cet hélicoptère espion avec caméra embarquée n’a plus rien en commun avec les petits hélicos 2 voies sortis il y a un ou deux ans !

Nous avons aimé :

  • pilotage parfait,
  • qualité de vidéo,
  • grande progressivité dans les mouvements,
  • temps de vol : presque 10 mn,
  • prise en main hyper facile,
  • la caméra orientable,
  • branchement USB costaud,
  • excellent rapport qualité prix : 69,90 €

Nous aurions aimé :

  • un peu plus de mémoire pour les vidéos et photos,
  • l’utilisation du 2,4 Ghz plutôt qu’une télécommande par infra-rouge pour aller plus haut et plus loin,
  • un logiciel incorporé pour Mac et pas seulement QUE pour PC,
  • un câble USB plus long.

Spy Cam Mycrazystuff

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Gadgets inclassables Juste pour le fun !

Badge Grippe A (H1N1) : afficher votre état !

Avec plus de 5 millions de personnes atteintes en France par la Grippe A (H1N1) il est tant d’afficher votre position face à votre entourage. Mycrazystuff propose 4 badges indiquant clairement votre « état grippal », comprenez par là votre situation face à la grippe A : un badge pour indiquer que vous êtes vacciné, un autre pour montrer que vous ne l’avez pas encore eu et 2 autres badges pour afficher avec fierté que VOUS l’avez eu. Un peu de dérision nuit moins que la grippe, non ?

badge grippe A

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Gadgets insolites

J’ai testé pour vous : la guirlande autonome solaire 100 leds !

Noël arrive, j’adore cette période, les gens sont joyeux, ils préparent leurs listes de cadeaux au Père Noël et ils décorent leur maison. C’est ce dernier point qui nous intéresse pour ce test.

Ces dernières années, la mode des décorations lumineuses extérieures a suscité un réel engouement auprès des Français. Mais l’opinion publique montre également du doigt la forte consommation électrique que cela occasionne, créant ainsi un point noir pour l’écologie. Lorsqu’on veut installer une guirlande électrique, il faut généralement trouver du 220 volts dans la jardin, dérouler un câble et bien étudier les temps d’éclairage pour ne pas voir sa facture d’électricité exploser. La solution, MyCrazyStuff l’a trouvé, c’est la guirlande autonome solaire !

guirlande solaire

D’un naturel curieux et très orienté sur la technique je me suis tout de suite posé la question suivante : « une guirlande solaire dans le jardin en plein hiver alors que le soleil se fait rare à cette période, est-ce vraiment fiable ?  » La réponse est à la fin de ce test (Pour information, j’ai réalisé ce test début novembre et imaginez la tête des mes voisins lorsque j’ai sorti la guirlande ! ).

J’installe tout d’abord ma guirlande multicolore et là je ne me pose pas trop de question sur l’emplacement si ce n’est la position du soleil. En hiver le soleil est plus bas et il faut bien calculer l’orientation du panneau solaire. Deux solutions pour fixer le capteur solaire s’offrent à moi : je le plante ? ou je le clipse ? Je décide alors de le clipser sur le toit de mon chalet de jardin qui possède une orientation Sud Ouest et j’installe les 10 mètres de guirlande sur la façade (du chalet !). Un petit clou pour le boîtier principal et le tour est joué.

installation du panneau solaire

Premier test : conditions extrêmes.

Le Test : Pour que le test soit objectif, je décide de tester l’autonomie de la guirlande en forçant son fonctionnement. Par défaut les batteries de la guirlande sont chargées dès leur fabrication, pour avoir la réelle indication de ce que peuvent consommer les leds, il me faut pousser le système dans des conditions extrêmes afin de déterminer son autonomie maximum : je cache la cellule photo-électrique du panneau solaire, faisant croire au système que la nuit est tombée et qu’il faut être allumé. Je laisserai ainsi la guirlande puiser dans ses réserves jusqu’à extinction complète.

J’allume  la guirlande  (en marche forcée) avec toutes les leds allumées fixes (pour rappel il y a 100 leds et 5 modes d’illumination). Il est 17 heures et mon chalet scintille de mille feux dans la pénombre : qu’il est beau ! (il me faut expliquer à mes voisins ce que je fais, ils commencent à se poser des questions…). La nuit passe et dès le lendemain matin je me rue à la fenêtre pour voir si la guirlande solaire fonctionne toujours.

Aucun problème, les 100 leds brillent toujours autant. La journée passe puis une nouvelle nuit et ce n’est que le surlendemain dans la matinée que la guirlande s’éteindra d’épuisement, soit près de 36 heures après l’avoir allumé. A moins d’habiter vers le cercle Arctique Polaire, votre guirlande ne connaîtra jamais de nuit d’une telle durée sans pouvoir faire de pause de rechargement ! l’autonomie est donc excellente pour alimenter 100 leds pendant plus de 24 heures en allumage continu.

Après avoir laissé notre guirlande se recharger pendant 24 heures sans allumage, je décide de réaliser un deuxième test, plus proche cette fois-ci des conditions réelles d’utilisation.

guirlande-solaire de nuit

Deuxième test : conditions normales.

La météo est correcte sans plus, un peu nuageuse et ces conditions sont annoncées pour plusieurs jours. Je commence alors le deuxième test : l’utilisation en condition dites normales.

Je règle l’éclairage de la guirlande en mode combiné (ce mode passe les 5 modes d’éclairage à la suite). Je règle le Timer (comprenez programmateur) sur 6 heures : cela signifie que  la guirlande va fonctionner pendant 6 heures à partir du moment où elle s’allume. Il est également possible de régler le Timer sur 8 heures et 10 heures, il suffit d’appuyer successivement sur le bouton Timer pour faire le réglage, c’est super simple, j’adore ! Il est environ 17h30, la nuit tombe et la guirlande s’allume comme prévu. Au bout de 6 heures, il est 23 h 30, les enfants sont couchés, mais aussi certains adultes (oui oui j’en connais !) et la guirlande s’éteint automatiquement…. super ! l’énergie stockée dans les batteries n’est donc pas gaspillée et  sera utilisée pour les jours suivants ! sachant que le panneau solaire « nourrira » les batteries en plein jour en fonction de l’ensoleillement, ce programmateur est un réel atout pour garantir l’autonomie de la guirlande.

Pendant les 5 jours qui suivent, je laisse fonctionner la guirlande de la même manière sans rien modifier. La semaine de test s’achève et je constate que ma guirlande scintille toujours autant dès la nuit tombée. Le test est donc concluant et je décide de la ranger  (mes voisins trouveront plus logique que je la mette en fonctionnement dès le mois de décembre 🙂 ).

Conclusion :

– Tout d’abord, la guirlande est restée allumé 36 heures ce qui signifie que lorsque la batterie est complètement chargée, il est possible d’utiliser la guirlande pendant 6 jours avec un fonctionnement de 6 heures par jour sans un seul rayon de soleil et dans le noir complet ! Sans oublier que la guirlande était en mode d’éclairage fixe par conséquent on peut imaginer que l’autonomie sera encore supérieure en mode clignotement.

– Par ailleurs, il est généralement fastidieux de devoir régler un programmateur pour une guirlande électrique traditionnelle car les jours raccourcissent ou s’allongent et les réglages doivent être constamment ajustés. Avec le panneau solaire équipé de son détecteur de luminosité, ce problème est résolu automatiquement et la guirlande s’allume quand la nuit tombe tout simplement, quelqu’en soit l’heure par rapport à la veille.

– Enfin, au bout des 5 jours d’utilisation, je n’ai constaté aucune baisse d’intensité lumineuse. Après avoir déchargé les batteries au maximum, celles-ci se sont rechargées sans aucun problème dès la première journée. Je pense que le temps d’utilisation peut baisser un peu lors de température plus froide en Janvier/Février par rapport à début novembre mais la barre (de charge) est déjà placée haute !

Résultat : « oui Monsieur, la guirlande solaire ça fonctionne aussi en hiver », « oui Madame, c’est écolo et ça ne consomme rien du tout ». Personnellement j’ai adopté, je pense même que je m’en servirai en été pour des soirées barbecue. Et non ! je ne vous redonnerai pas votre échantillon Monsieur Stuffy 😉

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Gadget hightech

TEST : Picoo Z Hélimission, Camion + Hélico !

Une tâche très particulière m’attend (enfin j’attendais plutôt cette tâche avec impatience), tester le nouveau produit Silvertlit qui a obtenu le Grand Prix du jouet 2009 : le très attendu PICOO Z HELIMISSION ! c’est Noël avant l’heure !

La boîte

Mais quel est ce fabuleux, ce merveilleux jouet ? Un camion + un hélicoptère et une seule télécommande, tel est le défi de l’Héli-mission. La télécommande pilote les deux engins et l’hélicoptère peut se « cacher » dans le camion.

Je prend la boîte monumentale et mes yeux pétillent comme ceux d’un gamin au pied du sapin. Le décor de la boîte me met tout de suite dans l’ambiance et possède un hologramme qui « bouge » quand on se décale ! c’est sûr ! il y a là dedans de quoi sauver le monde !

L'intérieur de la boîte

ce qu'il y a dans la boîte

J’ouvre et je saisis le contenu soigneusement rangé dans la boîte. Dix piles LR6 (AA) sont nécessaires au fonctionnement des deux appareils : x6 pour la télécommande et x4 pour le camion. L’hélicoptère quant à lui est équipé d’un accu lipo rechargeable directement sur la télécommande. La télécommande fonctionne en Infrarouges (idéal pour une utilisation en intérieur) ce qui évite d’avoir une grande antenne à manipuler.

Les piles dans la télécommande

Les piles dans le camion

Recharge de l'hélicoptère

Je branche le bel hélico « spécial Police » à la télécommande pour le recharger. Encore un peu de patience ! j’en profite pour admirer de près le gros camion blindé où doit se cacher le Picoo Z. Une fois l’hélicoptère rechargé (environ 15 minutes), nous voici donc prêt à partir en « mission ».

J’ouvre les panneaux du toit du camion depuis la télécommande, génial ! je pose l’hélico à sa place sans oublier de l’allumer et zou, c’est parti  !

Le camion est de bonne taille et possède un bon couple moteur, ce qui permet de le faire évoluer facilement même sur de la moquette.

Camion Heli-mission

Le camion se pilote comme une voiture radio commandée traditionnelle avec l’accélérateur à gauche et la direction sur le manche de droite. Le tout est très proportionnel (plus vous tournez, plus ça tourne ; moins vous tournez, moins ça tourne 🙂 ). Seule la marche arrière est moins progressive due je pense à la très petite course sur le levier. Ce bel engin n’est pas très rapide certes mais je vous rappelle qu’il s’agit d’un camion qui a le mérite de transporter un hélicoptère avec sa platerforme de lancement…

La télécommande comporte deux boutons situés sur la tranche : ils permettent d’ouvrir et de refermer les panneaux articulés mais aussi de lever et descendre la petite plateforme de l’hélico à volonté, on peut même exécuter la manœuvre en roulant. La manipulation et l’ergonomie sont relativement bien étudiées. Honnêtement, c’est bluffant, il y a même un son très bien adapté au mécanisme. Un autre bouton allume et éteint les gyrophares du camion ou le phare de l’hélicoptère, le grand luxe.

Une fois l’hélicoptère sur le pas de tir, il suffit d’un seul geste (de l’index), de changer la position du commutateur sur la radio pour piloter alors l’hélicoptère.

Celui-ci décolle de sa plate-forme et possède toutes les fonctions des fameux 3 voies Silvertlit tels que l’Atlas, le Deluxe et le Blackhawk. D’ailleurs, l’hélicoptère de l’Héli-mission est sur une base d’Atlas (l’un des premiers modèles trois canaux de chez Silverlit et plutôt bien conçu) spécialement décoré aux couleurs de la police. Celui-ci est très stable issu du grand savoir faire de la maison en la matière. Le plus dur, je ne vous le cache pas, est d’atterrir à nouveau sur la plate-forme du camion… après plusieurs crashes mettant en évidence la robustesse de l’hélicoptère spécial Police (pas une égratignure), nous nous sommes résignés à truquer ce bel atterrissage du premier coup qu’on voit dans la vidéo.


Picoo Z héli-mission camion + hélico – Mycrazystuff.com
envoyé par mycrazystuff. – Vidéos des dernières découvertes scientifiques.

J’y suis donc arrivé du premier coup ;-), et hop je commute sur la fonction camion, je descend la plate-forme, ferme les panneaux et repart pour une autre mission dans le salon…

Conclusion : Le PicooZ Hélimission nous a tout simplement tous émerveillé et mérite pleinement le trophée obtenu au Grand prix du jouet. L’ensemble est de bonne facture et très facile à prendre en main. Il possède des attributs incroyables pour s’inventer des scénarios qui raviront les petits comme les grands. Un jouet fabuleux qui devrait faire des envieux sous le sapin. Si vous avez la chance de l’avoir dans vos chaussons au pied du sapin, vous pourrez dire que le Père Noël ne se sera vraiment pas moqué de vous. A moins de 70 euros, voici un jouet aux multiples facettes qui offrira des heures d’amusement.

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Juste pour le fun !

Lancer de voitures chez les américains !

Elles sont radio-commandées, thermiques, elles sautent des falaises et font hurler la foule… on pense tout de suite à un concours de saut de petites voitures télécommandées tel que l’on a l’habitude de voir.

Détrompez-vous, les américains font plus fort que ça et ils poussent le délire beaucoup plus loin en jouant avec des vraies voitures (et même des bus et des remorques) et des toutes petites radiocommandes qu’ils installent à l’intérieur,  c’est tellement plus fun!

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Gadgets inclassables Juste pour le fun !

Vortex : le vibromasseur utilisant la puissance d’un aspirateur ménager

Vortex est un produit que seuls les américains peuvent inventer. Vous ne rêvez pas Mesdames, plus qu’un simple Sextoy, il s’agit d’un vibro (mais pas masseur) qui se connecte au bout de votre aspirateur ménager : orgasme garanti en moins de 2 mn d’après le fabricant. Notre conseil : utiliser un aspirateur super silence avec un variateur de vitesse !

Source : www.vortexvibrations.com

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Gadgets insolites

Elvis qu’on prie : les lunettes du King !

Non, la Elvis attitude n’est pas Has-Been, bien au contraire les années 70 sont à la mode ! Avec cette paire de lunettes (favoris inclus pour les « puberiens »), faites comme nous, osez le kitsch. , et passez des soirées hilarantes. En plus elles ont la protection UV 400 (100% protection Ultraviolet), idéal pour se promener sur la croisette ;  Le premier qui ose les mettre sur la plage nous envoie sa photo, les paris sont ouverts !

elvis

Source : Philippe (MCS)